Calculez votre Taux Journalier Moyen en utilisant notre simulateur ci-dessous.
Comment fonctionne le simulateur ? C’est très simple, entrez simplement votre salaire brut annuel actuel ou espéré. Votre TJM s’affichera ensuite juste en dessous. Ce TJM correspond donc au taux auquel vous devrez facturer vos clients en tant que freelance si vous souhaitez bénéficier d’un salaire équivalent à votre salaire perçu en CDI.
Salaire annuel brut (€) :
En tant que freelance, vous ne percevrez pas un salaire fixe tous les mois. Le calcul de votre TJM est donc une étape primordiale pour calculer vos revenus. Calculer un TJM ne se résume pas simplement à prendre son salaire mensuel et le diviser par le nombre de jours travaillés. En tant qu’indépendant, vous êtes votre propre entreprise et à ce titre vous devrez payer des impôts supplémentaires sur votre CA (Chiffre d’Affaires) ou bien sur vos bénéfices (selon le statut juridique choisi). C’est pourquoi ces charges supplémentaires doivent être prises en compte lors du calcul de votre Taux Journalier Moyen.
Ainsi, le taux journalier peut être hors taxe (HT) ou toutes taxes comprises (TTC). Cependant, si vous choisissez la seconde option, il est essentiel de prendre en considération l’inclusion de la TVA dans les dépenses déductibles.
Prenons l’exemple des développeurs web, à expérience similaire, beaucoup de développeurs vont proposer des TJM très différents. Cela dépend bien évidemment de la loi de l’offre et de la demande ainsi que de la popularité des différentes technos que vous maitrisez.
Le secteur du web évolue très vite, de nouvelles compétences et technologies apparaissent et disparaissent régulièrement. Il est donc très important de rester à la pointe des technologies et de s’autoformer régulièrement pour rester parmi les meilleurs.
Un développeur React ou Ruby on Rails pourra prétendre à un TJM beaucoup plus élevé que celui d’un développeur PHP et HTML. Ces dernières technologies étant beaucoup moins recherchées que les premières.
Consultez notre article détaillant les TJM des développeurs web freelances pour plus d’informations sur le sujet.
D’autre part, si vous souhaitez plus d’informations sur les différents TJM des métiers de l’ingénierie, consultez notre article dédiée.
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Cette évaluation débute par la détermination du nombre de jours où vous serez effectivement en activité, spécifiquement les jours où vous travaillerez pour vos clients. Il est crucial de prendre en compte non seulement le temps dédié à la recherche de clients, à la gestion des factures et aux échanges avec les prospects, mais aussi de soustraire ce temps de votre disponibilité réellement facturable. Il est improbable que vous travailliez sans interruption durant toute une année, et c’est pourquoi il est essentiel de commencer par estimer le taux journalier moyen (TJM) pour un travailleur indépendant.
De plus, il est nécessaire de budgéter vos périodes de congé en prévoyant des fonds issus des périodes de travail, car vous n’aurez pas de revenus durant ces absences.
Pour illustrer, en supposant que vous n’exercez pas d’activité le week-end et que vous prenez 5 semaines de congé, il reste environ 225 jours. Toutefois, il faut encore réduire ce chiffre en prenant en compte les jours où vous travaillerez sans pouvoir facturer (seulement 90 à 120 jours peuvent effectivement être facturés). Par la suite, il est nécessaire de prendre en compte deux éléments majeurs : d’une part, le salaire attendu pour l’année et d’autre part, les charges associées à votre activité professionnelle.
TJM = (Salaire net annuel espéré – charges annuelles – impôt sur le revenu) / nombre de jours travaillés et facturés.
La facturation au forfait se distingue nettement du taux journalier moyen (TJM) en ce qu’elle est liée aux résultats ou à la livraison d’un produit spécifique (ensemble de tâches), indépendamment du temps effectivement passé pour atteindre cet objectif. Pour un travailleur indépendant, cette approche de facturation peut s’avérer avantageuse si elle est soigneusement planifiée. Cependant, il existe un risque inhérent à la facturation au forfait, à savoir le fait de se retrouver dans des missions où le temps investi dépasse le prix fixé pour la prestation initiale.
Pour anticiper ce genre de situation et éviter de travailler à perte, un freelance doit toujours établir un tarif de base en deçà duquel il ne peut pas accepter la tâche demandée. Le TJM peut jouer un rôle crucial à cet égard, même si le travailleur indépendant souhaite explorer d’autres méthodes de facturation.
Le taux journalier moyen (TJM) joue un rôle crucial pour les travailleurs indépendants, consultants et professionnels du secteur. Le TJM se distingue par son lien avec divers éléments tels que les cotisations sociales, les contrats de travail, les assurances-chômage et les cotisations patronales.Les consultants indépendants, qui opèrent souvent en entreprise individuelle, peuvent se retrouver dans des situations variées en termes de rémunérations. Le TJM est une mesure utilisée pour calculer leur tarification, que ce soit pour un temps-plein ou des missions ponctuelles. Il est souvent basé sur des considérations liées au temps, comme le taux horaire et le temps de travail effectif. Cependant, il est également influencé par des éléments comme l’ancienneté et les primes, ce qui en fait un critère important dans la négociation de contrats.
En outre, les sociétés de portage salarial entrent en jeu pour les consultants indépendants qui souhaitent bénéficier des avantages du salariat tout en conservant une certaine indépendance.
Enfin, l’aspect du salaire net est également fondamental, reflétant la rémunération effective après déduction des charges sociales et patronales. Chaque mois, les professionnels reçoivent leur fiche de paie ou bulletin de salaire, qui détaille les cotisations, les allocations et autres éléments liés à la protection sociale, conformément au régime général et à la convention collective applicable à leur secteur d’activité.
De plus, l’ITG (indemnités de fin de contrat) offre une forme de sécurité financière en fin de mission. Les professions éligibles à cette protection peuvent varier en fonction de la réglementation et du secteur d’activité !
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